jeudi 18 août 2011

Réalité invisible...

Le ciel parsemé d'une obscure matière
nous signale la fin de la biosphère.
Atmosphère de terreur, hémisphère et froideur,
la mort s'est grimée en putain d' panthère.

La griffe lourde et tranchante déchire les cieux
dérangeant tout leurs plans même celui des dieux.
Nuages gazeux écarlates, stigmate d'autocrate,
aujourd'hui c'est l'enfer qui s'éveille sur eux.

La révolution morbide chaque jour est en marche,
découpant à la hache, tuant chaque patriarche.
Fourche sur épiderme écorché, ganache cravachée,
le sadisme de nos jours se pratique à la cravate.

Tsunami apocalyptique sur onde sismique élastique.
Savant mélange de graphe acyclique,
fréquence axiomatique basse, algorithme coriace,
les anges jouent de leur HAARP sur un putain d'air anesthésique.

Le sablier intemporel maintenant touche à sa fin,
le démon trônera toujours en souverain maintenant et demain.
Hurlement contemporain d'adoration sur sévisse de soumission,
c'est le jour ou le diable remonte en tribun.

La pute rouge se mue en deux piliers impliable
sur le damier innocent et pitoyable.
Jouissance effroyable extrême, masturbation interne
le maçon répand les boyaux sur le sable.

Le nombre de la bête gravé sur le front,
la carte à puce prend cher entre les rayons.
Scan à la con méprisant, sur son incessant,
le code barre bientôt en scarification.

Flash mob en guise de rite satanique,
solution plutôt pratique pour un système ploutocratique.
Alcoolique de glandes sudoripares, les ovipares sont là dans le noir,
éloge panégyrique à la fin de l'envoi je pique.

Comme le mystère des pyramides,
tissant leurs toiles tel un arachnide,
extra lucide industrie extractive, fin de l'ère germinative.
C'est la version finale en mode anhydride.

L' oeil métallique nous guètes tel une argyronète
pas très honnêtes guettant nos moindres faits et gestes,
comportement digne d'un espion, preuve flagrante de manipulation,
comme des cafards se proliférant tel la peste.

Taille de guêpe en saturation visuelle,
steppe conceptuelle médiatique sur acte de torture culturel.
Epilation, marche sur talon,maquillage tampon et crayon,
souffrir pour être belle ou soumission masculine éternelle.

Extermination de race en masse à la ramasse
écologie et idéologie bio-molasse pour la fin de la biomasse,
champs de pesticide ou ère du génocide quand peste et génome rîmes avec acide.
Air cocasse et casse couille pour casse tête et cerveau en bouillasse.

Comme la victoire du soleil face à la pleine lune défigurée en croissant trop cramé,
réchauffement climatique chaque jour à la une. Est-ce qu'ils y ont vraiment marché?

La siglaison réductrice s'empare de nos fréquences vibratoires,
USA ou laboratoire test à échelle humaine en échec et mat, FBI, KGB et CIA mis sous le vert billet couleur dorée du FMI sauce DSK, ADN modifié sous les chemins chimique aériens, clones clownesques nourri aux OGM, la mode au mode SMS et MMS, protection de la paix avec l'ONU, antibiotique en format missile SA ou AA ou version suppo 666 pour la quenelle profonde, GPS intégré pour trouver coordonnées longitude et attitude anale du trou inter-minable, nous dirigeant droit vers la RFID sous cul-tanné comme une peau de bouc lubrifiée à la graisse MC Dow-Jones couleur orange foie gras d'une oie sortie d'un KFC sous UV, commune niquant sous USB pour vés-qui le HIV sans utilisé le morceau de plastique rond au bout de sa fourchette à usage u-nique, lorsqu'il mange le lapin blanc d 'Alice connecté en ADSL aux pays des myxomatosé sous TVA à variation inflammable. Sous nos yeux rouges de mix de matos enivrer aux THC nous observons le premier des derniers jours en vision 3D et sonorités THX. Sous nos rires de hyènes sent l'émeute de la meute monter en haine, j'te montre la mienne, FKG Hostile est mon âme et le PKO style mon arme.

Tant dit que les capitales brûles
sous la canicule des incrédules
A la question, Londres brûle t' il ?
Je répond !

You're making us a FKG hostile !!!


"FKG HOSTILE" PKO RULLZ

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